Au départ, tout semble facile,
Comme intouchable sur cette île,
Aux enfants, aux trésors,
Un joli décor pour ces bambins innocents,
Cependant, la roue tourne pour ces adolescents,
Dont beaucoup font tourner celle de l'amour,
Sauf que certains n'ont jamais leur tour,
On se dit qu'il y a bien une raison,
Mais la vie distille indifféremment son lot de déceptions,
Le fruit du hasard, leur dira-t-on.
Pour être à l'abri, ils bâtissent une épaisse cloison,
Car c'est être faible que de montrer ses émotions.
Même si nos proches nous trouvent géniaux,
On a du mal à distinguer le laid du beau,
Sans savoir pourquoi on se meut,
Peut-être parce que notre bon sens le veut,
Nous faisons toujours de notre mieux.
Maintenant convaincu d'avoir du talent,
Et de pouvoir réussir le soit disant important,
On part en guerre à la poursuite de l'âme soeur,
Seulement, la timidité, le manque de confiance, la peur,
Nous éloignent de celle qui ne veut que notre bonheur.
Les batailles perdues,
Les héros déchus, ne s'en souviennent plus,
Ils savent maintenant qu'ils ont des ailes,
Encore faut-il qu'ils trouvent cette étincelle,
Cette lumière, cette unique merveille,
Celle qui permettra à ces mortels,
De contempler la terre vue du ciel.
Traversant ce chemin et long et périlleux,
Grâce à cette rage d'aimer, on arrache des victoires,
Seulement il faut être deux,
Pour commencer à entrevoir,
Un bout de ce vœu pieu.
Même si on nous l'a toujours dit,
On est toujours surpris,
D'être témoin de ce coup de foudre,
Qui nous envahit,
Nous assoupit,
Nous accomplit,
Nous éblouit,
Nous ensevelit,
.
Soudain tout s'accélère,
On ne sait pas qui conduit,
Mais on est certain d'être enfin en vie,
A peine un an depuis,
Et déjà cette envie,
Envie de partager le même lit,
De se dire oui pour la vie,
De fonder une famille,
Je t'ai beaucoup cherché,
Mais maintenant, je le sais,
Je vais te protéger,
Car toi,
Mon bébé,
Comme moi,
Tu as été blessé.
Je suis tellement apaisé,
Que j'ai envie de le crier :
Je t'aime ma chérie
Je t'aime à l'infini.
Comme intouchable sur cette île,
Aux enfants, aux trésors,
Un joli décor pour ces bambins innocents,
Cependant, la roue tourne pour ces adolescents,
Dont beaucoup font tourner celle de l'amour,
Sauf que certains n'ont jamais leur tour,
On se dit qu'il y a bien une raison,
Mais la vie distille indifféremment son lot de déceptions,
Le fruit du hasard, leur dira-t-on.
Pour être à l'abri, ils bâtissent une épaisse cloison,
Car c'est être faible que de montrer ses émotions.
Même si nos proches nous trouvent géniaux,
On a du mal à distinguer le laid du beau,
Sans savoir pourquoi on se meut,
Peut-être parce que notre bon sens le veut,
Nous faisons toujours de notre mieux.
Maintenant convaincu d'avoir du talent,
Et de pouvoir réussir le soit disant important,
On part en guerre à la poursuite de l'âme soeur,
Seulement, la timidité, le manque de confiance, la peur,
Nous éloignent de celle qui ne veut que notre bonheur.
Les batailles perdues,
Les héros déchus, ne s'en souviennent plus,
Ils savent maintenant qu'ils ont des ailes,
Encore faut-il qu'ils trouvent cette étincelle,
Cette lumière, cette unique merveille,
Celle qui permettra à ces mortels,
De contempler la terre vue du ciel.
Traversant ce chemin et long et périlleux,
Grâce à cette rage d'aimer, on arrache des victoires,
Seulement il faut être deux,
Pour commencer à entrevoir,
Un bout de ce vœu pieu.
Même si on nous l'a toujours dit,
On est toujours surpris,
D'être témoin de ce coup de foudre,
Qui nous envahit,
Nous assoupit,
Nous accomplit,
Nous éblouit,
Nous ensevelit,
.
Soudain tout s'accélère,
On ne sait pas qui conduit,
Mais on est certain d'être enfin en vie,
A peine un an depuis,
Et déjà cette envie,
Envie de partager le même lit,
De se dire oui pour la vie,
De fonder une famille,
Je t'ai beaucoup cherché,
Mais maintenant, je le sais,
Je vais te protéger,
Car toi,
Mon bébé,
Comme moi,
Tu as été blessé.
Je suis tellement apaisé,
Que j'ai envie de le crier :
Je t'aime ma chérie
Je t'aime à l'infini.
sanou moustapha